L'angle mort de la réforme électorale Paris-Lyon-Marseille
La réforme de la loi PLM s'appuie sur des chiffres de population parfois vieux de cinquante ans, ce qui fausse l'attribution des sièges des conseillers d'arrondissement. Un loupé qui ne remet pas en cause le cœur du texte de loi, mais qui pourrait l'exposer à une censure du Conseil constitutionnel.