Elue directrice générale de l'Unesco sur le fil en 2017 et réélue à une large majorité en 2021, l'ex-ministre de la culture Audrey Azoulay traverse une zone de turbulences diplomatiques qui réduit ses marges de manœuvre.
Unesco : le groupe Amérique latine et Caraïbes (ALC) lance les manœuvres pour la présidence du Conseil exécutif qui doit revenir à l'un de ses représentants en vertu d'une règle de rotation géographique.
La petite île caribéenne présente la candidature de Vera el-Khoury Lacoeuilhe pour la stratégique présidence du conseil exécutif de l'organisation onusienne. Cette diplomate libanaise est le fidèle bras droit du milliardaire nigérian Gilbert Chagoury, qui occupe depuis 1995 la charge d'ambassadeur de Sainte-Lucie à l'Unesco.
Fait inédit place de Fontenoy, un diplomate de haut rang vient de claquer la porte en demandant la tête de sa directrice générale, Audrey Azoulay. Sur un ton pamphlétaire, l'ambassadeur adjoint de l'Espagne, Íñigo Ramírez de Haro, entendait dénoncer des pressions subies pour retirer ses critiques sur la gestion RH de l'organisation.
Dans une intervention au conseil exécutif, le représentant adjoint de Madrid Place Fontenoy, Íñigo Ramírez de Haro, a attaqué frontalement la gestion de la directrice générale, Audrey Azoulay, visant en particulier le contrôle RH et déontologique des plus hauts fonctionnaires.
La directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay, en poste jusqu'en 2025, va perdre deux maillons essentiels à ses côtés. Son fidèle directeur de cabinet, Nicolas Kassianides, envisage de se faire la malle cet été, alors que son conseiller politique rejoint France Médias Monde.
La directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay, envisage toujours de se rendre à Kiev, en Ukraine.
Après avoir perdu en novembre son siège au conseil exécutif de l'Unesco, la diplomatie marocaine travaille à laver l'affront et prépare son retour au sein de l'instance onusienne.
Alerte publiée le 19/11/21 à 12 h 20 - Le Maroc a échoué à conserver son siège au sein de l'instance qui fait office de conseil d'administration de l'Unesco. La directrice générale, Audrey Azoulay, sera privée d'un soutien de poids, alors qu'elle entame son second mandat Place Fontenoy.
Les services d'Audrey Azoulay, directrice générale de l'Unesco, préparent la mise place d'un registre de transparence des diplomates embauchés par les délégations permanentes de l'organisation onusienne.
Dans une configuration rare Place de Fontenoy, l'ambassadrice de France à l'Unesco Véronique Roger-Lacan s'est retrouvée dans le camp des opposants à Audrey Azoulay lors de la controverse sur l'inscription de plusieurs sites mondiaux sur la liste du patrimoine en danger dévoilée le 11 juin.
L'ex-chargé de mission à l'Elysée reconverti dans le conseil s'est rapproché de la délégation du micro-Etat représenté à Paris par l'homme d'affaires libanais Taha Mikati. Il a été reçu aux côtés d'un entrepreneur britannique par Sania el Kadi, déléguée adjointe de l'archipel à l'Unesco.
La visite début janvier de cinq agents de l'ANSSI n'est pas passée inaperçue Place de Fontenoy. L'organisation onusienne, dirigée par Audrey Azoulay, reconnaît faire appel aux cyberpompiers pour renforcer sa sécurité informatique depuis l'automne dernier, mais reste floue sur l'existence d'une intrusion.
Si ses soutiens parient sur une réélection facile d'Audrey Azoulay au poste de directrice générale de l'Unesco en novembre, elle s'est toutefois attiré les foudres du président turc de la Conférence générale de l'organisation onusienne dédiée à la culture et à l'éducation.
L'ambassadrice de France à l'Unesco, Véronique Roger-Lacan, se mobilise pour faire adopter une déclaration des Etats membres de l'institution en réaction à l'assassinat de Samuel Paty.
Les négociations sur la gouvernance de l'agence onusienne en temps d'épidémie ont suscité un rappel à l'ordre de la représentante française sur le respect de la confidentialité des échanges entre Etats. Malgré les réticences de quelques pays, dont la France, une session extraordinaire du conseil exécutif sera organisée à distance en mai.
A l'issue du conseil exécutif de l'Unesco qui se réunissait du 18 au 23 octobre, la diplomatie turque a propulsé son représentant, Altay Cengizer, à la présidence de la conférence générale. La directrice générale Audrey Azoulay a pour sa part fait approuver son budget après des discussions serrées.
Candidat dissident La République en marche (LREM) à la Mairie [...]
La directrice générale de l'Unesco, Audrey Azoulay, vient de trouver [...]
L'homme d'affaires saoudien Mohamed al-Jaber, qui comparaissait en juin dans l'affaire Patrick Balkany, a été l'un des conseillers spéciaux de la directrice générale de l'Unesco Audrey Azoulay de janvier à novembre 2018.
A l'Unesco, Soria Blatmann est déjà sur le départ, un [...]
